Olyrix / 22 septembre 2024 / Juan Barrios
Le Domino noir emplit de couleur la rentrée de l’Opéra-Comique
« L’ouverture est d’emblée marquante par son efficace fluidité, sa dynamique soignée. »
« Valérie Lesort et Christian Hecq proposent une mise en scène inventive (reprise par Laurent Delvert) où les décors prennent vie de manière inattendue. »
« Les costumes de Vanessa Sannino impressionnent par leur diversité et créativité. »
Première Loge / 22 septembre 2024 / Stéphane Lelièvre
Le Domino noir de retour à la maison
« Formidable succès. »
« Une mise en scène pleine d’espièglerie et une distribution quasi idéale, parfaitement adaptée à l’œuvre. »
« Cyrille Dubois est un Horace de Massarena tout à la fois fougueux, romantique et délicieusement naïf. »
« Un public admiratif et reconnaissant. »
Web Théâtre / 22 septembre 2024 / Christian Wasselin
Auber au bal
« Horace rayonnant. »
« Des costumes inventifs. »
Classique News / 22 septembre 2024 / André Peyrègne
Le Domino noir : un spectacle tout en couleurs !
« La distribution vocale est excellente. »
« Anne Catherine Gillet (Angèle) domine le spectacle de sa voix et sa prestance. »
« Le ténor Cyrille Dubois (son soupirant) nous enchante de sa voix légère et bien timbrée. »
« La mezzo Victoire Brunel (l’amie d’Angèle) est ravissante de voix et d’allure. »
Bachtrack / 21 septembre 2024 / Jean-Pierre Rousseau
La reprise triomphale du Domino noir à l'Opéra-Comique
Sur Anne-Catherine Gillet : « (…) une qualité de diction, une virtuosité vocale où elle est aujourd'hui sans rivale… »
« Un finale étourdissant. »
« Dès l'ouverture, le chef confère à la partition une distinction et une allure qui, loin de brider la folie, le comique, voire l'absurde des situations, leur donnent au contraire un relief saisissant. »
Forum Opéra / 21 septembre 2024 / Antoine Brunetto
Le retour de la belle inconnue
Sur l’intrigue : « Elle parfaitement servie ce soir par la direction crépitante de Louis Langrée à la tête de l’Orchestre de chambre de Paris, qui dès l’ouverture nous emporte dans un tourbillon. »
« La mise en scène signée Valérie Lesort et Christian Hecq est au diapason, toujours foisonnante et imaginative, et l’on aimerait voir ce soir le spectacle pour la première fois afin de retrouver l’effet de surprise des multiples clins d’œil et les gags (souvent très drôles) dont ils ont parsemé le spectacle. »
« Décors esthétiques et astucieux. »
Concert Classic / 21 septembre 2024 / Laurent Bury
Reprise du Domino noir à l’Opéra-Comique – Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?
« À la réussite théâtrale répond la réussite musicale. »
« Le chœur Les éléments chante et danse comme dans une comédie musicale, et même les pupitres féminins, uniquement sollicités au dernier acte, ont eux aussi droit à leur chorégraphie. »
Classykeo / 21 septembre 2024 / Lilah Immerechts
Angèle au pays des Merveilles : Le Domino Noir à l’Opéra-Comique
« Grand carnaval des contes. »
« Musicalement, c’est Auber : c’est simple, efficace. »
« Louis Langrée dirige élégamment l’Orchestre de chambre de Paris, tout en souplesse et réactivité. »
Cult News / 20 septembre 2024 / Paul Fourier
Avec sa belle production du Domino noir, l’Opéra-Comique confirme le retour en grâce d’Auber
« Brillante mise en scène de Lesort et Hecq. »
« L’une des grandes forces du spectacle est la façon dont Valérie Lesort et Christian Hecq (assistés cette fois de Laurent Devert) ont su composer trois écrins distincts, tout en s’appuyant, sans jamais l’amoindrir, sur la qualité du livret. »
« Léo Vermot-Desroches apporte brillamment au Comte Juliano toute la vivacité de l’ami fêtard… »
Avant-Scène Opéra / 20 septembre 2024 / Jules Cavalié
Le Domino noir
« La mise en scène de Valérie Lesort et Christian Hecq, dont la reprise est assurée par Laurent Delvert, joue admirablement la bouffonnerie, en l’épiçant de poésie et d’ironie. »
« Victoire Bunel fait valoir son timbre chaleureux, une élocution impeccable et un chant au chic un peu canaille – parfait pour ce rôle d’aristo dévergondée. »
Sur Léo Vermot-Desroches : « Il confirme la très favorable impression qu’il nous avait laissé : le timbre est chaleureux, la voix bien projetée, et la ligne bien tenue, en outre il s’investit en scène. »
« Louis Langrée dirige l’orchestre de chambre de Paris avec verve et finesse. »