Divinité de l’arbre (salabhanjika ou vrksaka),Paris, musée Guimet – musée national des Arts asiatiques, Photo (C) RMN-Grand Palais (MNAAG, Paris) / Hervé Lewandowski
Sur les traces de Lakmé : samedi 1 octobre
Deux parcours thématiques vous sont proposés le samedi 1er octobre :
- Parcours 1 : Sur les traces de Lakmé : lorsque le compositeur Léo Delibes (1836-1891) crée son opéra Lakmé, il puise son inspiration dans des récits de voyage et les représentations d’une Inde fantasmée par les artistes de l’orientalisme. A travers les œuvres du MNAAG, le parcours vous permettra de mieux comprendre ce qu’est l’hindouisme, le fonctionnement de la société indienne et la place qui y est faite à la beauté et à l’amour… et de découvrir ainsi Lakmé, monument de l’Opéra Comique, sous un jour nouveau.
11h00 : Visite des collections guidée accompagnée d’un atelier de chant mené par la cheffe de chœur de l’Opéra Comique
14h00 : Visite des collections guidée
Durée : 1h30
Tarif : 8€ en plus d’une entrée au musée (tarif plein 11,50€, tarif réduit 8,50€)
Réservations sur cette page
- Parcours 2 : Découverte des collections Inde : découvrir les œuvres indiennes majeures du MNAAG, situer leur place dans l’histoire de l’art de l’Inde, comprendre leur portée religieuse ou historique, telle est la vocation de ce parcours au sein des collections permanentes.
16h00 : Visite guidée des collections indiennes du MNAAG
Durée : 1h30
Tarif : 8€ en plus d’une entrée au musée (tarif plein 11,50€, tarif réduit 8,50€)
Visite guidée sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Retour sur la journée de visite
Samedi 1er octobre, en partenariat avec le Musée Guimet, nous vous proposions de partir les traces de Lakmé en voyageant dans les collections indiennes du musée avec les yeux et la voix ! Accompagnés par la conférencière de la Réunion des musées nationaux (RMN), les visiteurs explorent les thèmes qui traversent l’œuvre de Lakmé : la religion, la femme, l’amour , la nature, à travers un parcours dans les collections d’Asie du Sud Est et indiennes. Une cheffe de chœur de l’Opéra Comique éclaire les propos en leur faisant découvrir, par le chant, des airs de Lakmé.
