La Petite Boutique des horreurs - Décembre 2022 © Stefan Brion
Marc Mauillon (Seymour)
Rfi | 19 décembre 2022 | Carmen Lunsmann
La comédie musicale américaine « La Petite Boutique des horreurs » à l'Opéra Comique
Un air de Broadway souffle sur l’Opéra Comique. La Petite Boutique des horreurs, comédie musicale des années 1980, débarque dans la plus ancienne maison d’opéra de Paris. Cette satire américaine autour d’une plante carnivore renaît dans une version française menée par un tandem de metteurs en scène marionnettistes et maîtres de l’horreur qui fait rire : Valérie Lesort et Maxime Hecq.
Tony Comédie | 18 décembre 2022
La Petite Boutique des Horreurs à l’Opéra Comique (Paris)
Le choix d'opter pour une comédie musicale humoristique et décalée (dans la même veine que Les Producteurs) est payant. Le spectacle est dynamique et on y rit beaucoup. 2022 est pour moi l'année de la Petite Boutique des Horreurs puisque j'ai assisté en octobre dernier à la production actuellement jouée Off-Broadway. Si la production new-yorkaise est visuellement parfaite (décors, lumières, costumes), je m'étais un peu ennuyé et avais peu ri. A contrario, j'ai passé une soirée mémorable à l'Opéra Comique !
Scèneweb | 17 décembre 2022 | Stéphane Capron
L’Opéra-Comique en mode carnivore
Pour mettre en scène cette histoire hors du commun, il fallait deux grands créateurs. Valérie Lesort et Christian Hecq […] Ils ont de l’or dans les mains et peuvent s’appuyer sur une équipe de créateurs innovants avec Pascal Laajili aux lumières, Audrey Vuong aux décors, Vanessa Sannino aux costumes et Carole Allemand, la créatrice des marionnettes, […] d’abord manipulée par les mains, puis habitée par Sami Adjali et deux danseurs. Sa voix est portée par Daniel Njo Lobé. Enfin, un sacré chœur antique mais à la sauce Dolly Parton, incarné par Anissa Brahmi, Sofia Mountassir et Laura Nanou, gratifie la pièce de commentaires acides, entouré de danseurs dirigés par Rémi Boissy.
Artpress | 16 décembre 2022 | Emmanuel Daydé
“La Petite Boutique des Horreurs”
Comme pour leur mise en scène du Voyage de Gulliver, Hecq et Lesort préfèrent la marionnette humaine à la technologie inhumaine, confiant le soin à Carole Allemand de créer une Plante en mousse de latex inspirée d’Alien, veinée de sang et couronnée de dents – que Seymour a appelé Audrey II, en hommage à la femme qu’il aime –, animée d’abord à la main, puis de l’intérieur, au fur et à mesure de sa monstrueuse croissance. “Par pitié, soyez forts, laissez crever vos plantes”, conclut la comédie.
Cultureauxtrousses.com | 16 décembre 2022 | Chloé Caye
La Petite Boutique des Horreurs
L’association d’intrigues et de tons de l’œuvre d’origine est parfaitement transposée sur la scène de l’Opéra Comique. Mais il va aussi sans dire que jamais la plante n’aura été représentée avec autant de brio : grandissante et grossissante jusqu’à envahir la scène et engloutir ses personnages.
Musicaletcie | 15 décembre 2022 | Maïna Salmon
La Petite Boutique des Horreurs
La mise en scène de Valérie Lesort et Christian Hecq est pensée à la perfection.
Que ce soit par le décor très années 60 et très kitch à l’univers sonore qui est différent pour chaque
personnage : la plante est jazzy (Daniel Njo Lobé est la voix de la plante) et le trio formé par Sofia Mountassir, Laura Nanou et Anissa Brahmi est un mélange de gospel et de soûl. D’ailleurs le casting qui vient de deux mondes opposés (une partie est issue du lyrique l’autre de la comédie musicale) donne un résultat très apprécié.
Toutelaculture | 15 décembre 2022 | Yohan Haddad
La petite boutique des horreurs ouvre ses portes à l’Opéra Comique
Après deux heures de spectacles, notre enchantement atteint son paroxysme à travers un numéro final merveilleux, où la distribution entière se réunit autour du trio féminin pour nous indiquer de « ne pas nourrir les plantes », épilogue délicieusement sinistre, où la musique rock n’roll des années 1960 alimente le contraste avec force.
Théâtredublog | 15 décembre 2022 | Mireille Davidovici
La Petite Boutique des horreurs d’Alan Menken, musique d’Howard Ashman, direction musicale de Maxime Pascal, mise en scène de Valérie Lesort et Christian Hecq
Marc Mauillon interprète avec nuances un Seymour timide, un peu lâche et ambigu… comme sa voix qui passe de ténor à baryton. Secrètement amoureux d’Audrey, il se laisse corrompre par la plante qui crie famine- « Nourris moi » est son leitmotiv-, pour arriver à ses fins. Judith Fa est une Audrey pétillante de candeur dans ses tenues rose bonbon années soixante-dix.
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TSF Jazz - Coup de projecteur | 14 décembre 2022 | Thierry Le Bon
La petite boutique des horreurs
Une comédie musicale saignante. L’adaptation française de « La petite boutique des horreurs » est présentée jusqu’au 25 décembre à l’'Opéra Comique. Basé sur le show Off-Broadway des années 80 lui même inspiré d’un film des années 60, le spectacle raconte l’histoire de Seymour , vendeur dans un magasin de fleurs au bord de la faillite. Jusqu'au jour où il découvre une plante carnivore qui attire tous les regards. Seul problème, elle n’aime que la viande humaine.
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LeFigaro live | 14 décembre 2022 | Bernard Babkine
"La Petite Boutique des horreurs", le conseil comédie musicale de Bernard Babkine
Retrouvez Le Club Le Figaro Culture du 14 décembre, dédié aux spectacles à aller voir pendant les Fêtes de fin d'année. "La Petite Boutique des horreurs", comédie musicale à retrouver à l'Opéra Comique, est le coup de cœur de Bernard Babkine, journaliste Culture chez Madame Figaro.
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Artistik Rezo | 15 décembre 2022 | Hélène Kuttner
“La Petite Boutique des horreurs” : la réussite d’un music-hall à la française à l’Opéra Comique
Ce mélange des genres musicaux se retrouve de manière très heureuse dans la composition d’un casting de personnalités venant de tous horizons, que les metteurs en scènes associent dans une mise en scène chorégraphiée avec une intense précision, au fil de tableaux épatants et dans un décor signé Audrey Vuong de gas stations en forme de guimauve. Dirigés sans temps mort à la manière de cartoons aux couleurs acidulées et pop, habillés à la perfection par Vanessa Sannino, les interprètes font fureur.
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Resmusica | 15 décembre 2022 | Maya Prynda
Une Petite Boutique horriblement drôle à l’Opéra Comique
Pour s’adapter aux dimensions de l’Opéra Comique, une nouvelle orchestration a été confiée à Arthur Lavandier, qui mêle habilement le « band » original à des cuivres et cordes. Les musiciens de l’ensemble Le Balcon et leur chef, Maxime Pascal, ne cachent pas leur plaisir à interpréter la partition d’Alan Menken. La musique, sans receler d’airs célèbres ni chercher à révolutionner l’écriture orchestrale, mêle rock, jazz, gospel, country, doo-wop, rythm and blues et classique : c’est diablement vivant et efficace, surtout si l’on ajoute la pointe d’auto-dérision que chaque interprète apporte à son personnage.
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Le Monde | 14 décembre 2022 | Marie-Aude Roux
Une très réjouissante « Petite Boutique des horreurs » mise en scène par Valérie Lesort et Christian Hecq
Entre rock’n’roll et hits de la musique des années 1960 (jazz, doo-wop, pop-jazz, gospel, soul, rhythm and blues, country), La Petite Boutique des horreurs déroule une partition riche en rebondissements (avec des emprunts à la musique traditionnelle juive). Ses interprètes viennent d’horizons aussi différents que le cinéma (doublage), le musical, le gospel et la soul, sans oublier l’opérette et l’opéra, chacun s’identifiant à une typologie qui convoque pêle-mêle Elvis Presley, George Benson, Dolly Parton ou les Supremes de Diana Ross.
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Regardencoulisse | 14 décembre 2022 | Elma Débent
La Petite Boutique des horreurs
Mais si bien entourée qu’elle le soit, la réussite ne serait pas la même sans une plante aussi expressive. Créée par Carole Allemand et manipulée avec précision par Sami Adjali, elle évolue au fil du spectacle en faisant ressentir dans tout son corps chacun de ses sentiments. Pour finir de lui donner vie, Daniel Njo Lobé lui prête sa voix avec malice et révèle grâce à elle un talent de chanteur insoupçonné.
Le Parisien | 14 décembre 2022 | Sylvain Merle
« La Petite boutique des horreurs » à l’Opéra-Comique : une comédie musicale qui fait frissonner de rire
Avec panache et une distribution éclatante pour des personnages génialement outrés, ça dévore sec et ça balance dur à l’Opéra-Comique qui applaudit en rythme ou bat la mesure. Sous la direction musicale de Maxime Pascal, le big bang originel et sa partition mêlant jazz et soul, gospel et rhythm’n’blues, rock’n’roll ou encore country, se dotent d’un souffle symphonique.
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Musicologie.org | 14 décembre 2022 | Frédéric Norac
Cauchemar vert à l’Opéra-Comique : La petite boutique des horreurs de Howard Ashman et Alan Menken
La voici revenue sur la scène de l’Opéra-Comique dans une mise en scène très réussie de Valérie Lesort et Christian Hecq, grands spécialistes du « grand guignol » et de l’horrifique.
WebThéâtre | 12 décembre 2022 | Noël Tinazzi
La Petite Boutique par la grande porte
Les deux interprètes principaux, le baryton/ténor Marc Mauillon, et la soprano Judith Fa donnent au couple impossible Seymour/Audrey une fraîcheur attendrissante. Pour sa part, le ténor Damien Bigourdan (qui joue plusieurs rôles) campe un Orin désopilant et le Baryton Lionel Peintre un Mushnik boutiquier bougon. Mais la palme va au trio de chanteuses qui font office de chœur à l’antique et qui rappellent furieusement The Supremes aux grandes heures de la Motown.
Bachtrack | 12 décembre 2022 | Tristan Labouret
A l’Opéra Comique, La Petite Boutique des horreurs vend du rêve
Pour ménager les nombreux (et réjouissants) effets de surprise de la production, on n’en dira pas davantage… si ce n’est que l’illusion est parfaite ! On écarquille les yeux, on se pince – et une fois de retour chez soi, on en viendrait à se méfier de ses plantes vertes.
Diapason | 12 décembre 2022 | Benoît Fauchet
La Petite Boutique des Horreurs : Favart a la main verte au rayon « musical »
L’effectif instrumental prévu par Menken a été augmenté d’un big band et de pupitres de cordes, étoffant et colorant ce cocktail de styles américains (gospel, soul, pop, rock, rhythm and blues, country… avec quelques échos de musique juive) sans nuire à la tension électrique et percussive de l’ensemble.
FranceInfo Culture | 12 décembre 2022 | Sophie Jouve
« La Petite Boutique des horreurs » à l’Opéra Comique : une comédie musicale avec une plante carnivore qui dépote !
Illusion, burlesque, comique et horreur cohabitent dans ce drôle de cauchemar qui évoque le mythe de Frankenstein et dessine en filigrane une satire très noire de la société américaine.
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Transfuge | 12 décembre 2022 | Oriane Jeancourt Galignani
L’horreur ensorcelle Favart
Bref, le Musical offre au public ravi ce qu’il vient chercher : le rire, l’enchantement et l’horreur. Satire d’une société dominée par le spectaculaire, constat désolant d’une Amérique qui n’offre aucun horizon à la jeunesse pauvre, La Petite boutique des horreurs cogne sur des airs intrépides, et nous rions jaune. Le spectacle agit en cela comme un récépissé de cet esprit américain des années 80 qui annonce tant de notre temps. Car après tout, là aussi, l’apocalypse était verte….
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