Médée (2025) © Stefan Brion
Scèneweb / 10 février 2025 / Christophe Candoni
Médée, mère et étrangère, provocante et violentée
« La réalisation vidéo, qui irrigue avec pertinence le travail scénique de Marie-Ève Signeyrole, propose des images, parfois enregistrées, mais la plupart du temps tournées en direct, qui alternent entre des renvois à l’enfance et le présent décomposé. »
« La soprano libano-canadienne Joyce El-Khoury se fait une interprète sensible et vibrante. »
« Laurence Equilbey assure, elle aussi, un dramatisme noir et incendiaire, en alliant avec un style implacable un majestueux lyrisme et des accents tragiques parfois brutaux. »
France Musique / 10 février 2025 / L’invité de la matinale / Jean-Baptiste Urbain
Marie-Eve Signeyrole - Metteuse en scène
« Artiste engagée, aimant convier les grands sujets de société au cœur même de l'opéra, vidéaste virtuose, Marie-Eve Signeyrole signe la mise en scène de "Médée" de Cherubini. »
Artistik Rézo / 9 février 2025 / Hélène Kuttner
« Médée » à l’Opéra-Comique : une héroïne de notre temps
« La soprano Joyce El-Khoury prête son talent de tragédienne et sa voix puissante à ce personnage de mère infanticide, entourée d’interprètes talentueux sous la direction de Laurence Equilbey. »
« Joyce El-Khoury est une Médée superbe, brûlante de sensualité et de puissance, dont la voix enveloppante nous embarque royalement, magistralement équilibrée entre les médiums veloutés et les aigus dans un souffle constant et impérial. »
« Dans le rôle de Créon, Edwin Crossley-Mercer est plus que parfait, voix de basse précise et diction idoine. Il est sec comme un couteau qui taille dans l’amour et la tendresse. »
Forum Opéra / 9 février 2025 / Antoine Brunetto
Balance ton porc !
« Avec Jason, Julien Behr se réinvente avec bonheur en fort ténor. »
A propos d’Edwin Crossley-Mercer : « La voix puissamment projetée sait tour à tour se faire caressante et chaleureuse puis cinglante et menaçante. »
Olyrix / 9 février 2025 / Damien Dutilleul
Médée de Cherubini en procès à l’Opéra-Comique
« (…) une direction d’acteurs particulièrement soignée, offrant de grands moments d’émotion. »
« Comme à son habitude, elle [Marie-Ève Signeyrole] travaille notamment avec soin le jeu des artistes du chœur, qui participent à la narration de manière individualisée. »
« La dramaturgie est parfaitement servie par la scénographie comme toujours ingénieuse et évocatrice de Fabien Teigné, véritable boîte à secrets sculptée de manière éloquente par les lumières de Philippe Berthomé tandis que les élégants costumes de Yashi apportent à l’ensemble une beauté visuelle qui tranche avec la noirceur du propos. »
